Dans certaines discussions publiques, l’accueil peut être présenté comme
solution à divers problèmes d’intégration, de communication, voire de violence scolaire. Par exemple, lors d’un récent forum des candidats aux postes
de conseillers scolaires à Edmonton, en Alberta, sept des huit candidats ont
utilisé le mot accueil dans l’élaboration de leur vision de l’école francophone.
« Pour nos enfants, il n’est pas question d’accueillir les nouvelles cultures,
c’est leur réalité », affirme l’une des candidates, alors qu’un deuxième maintient que « [l]a solution à la question de la sécurité dans nos écoles, c’est
l’accueil ».